Portrait de l'homme qui rit dans l'oeuvre de Victor Hugo
L'homme qui rit est un roman de Victor Hugo, publié en 1869. Il raconte l'histoire de Gwynplaine, un jeune homme défiguré qui doit faire face à l'hostilité de la société. Le titre de l'oeuvre fait référence au sourire figé de Gwynplaine, qui lui a été imposé par des voleurs lorsqu'il était enfant.
Le portrait de Gwynplaine
Le personnage de Gwynplaine est décrit dans le roman comme ayant un visage qui semble constamment sourire, malgré la tristesse et la douleur qui se cachent derrière. Dans un extrait du roman cité sur le site Etudier.com, Victor Hugo écrit :
C'est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage inouï que le hasard ou la destinée avait mis à cette figure était le sourire de la création sur l'effroi du néant.
Le visage de Gwynplaine est ainsi présenté comme une énigme, une expression figée qui ne correspond pas à l'état d'esprit réel du personnage. Ce sourire forcé est également une source d'effroi pour les personnages qui l'entourent, qui sont incapables de comprendre ce qui se cache derrière.
Le portrait de Barkilphedro
En plus de celui de Gwynplaine, l'oeuvre comprend également un portrait de Barkilphedro, l'ennemi juré de Gwynplaine. Ce personnage est décrit dans le roman comme un être tordu et malveillant, à l'image de son visage.
La page Wikipédia consacrée au livre mentionne une peinture à l'huile de Barkilphedro réalisée par Georges-Antoine Rochegrosse, qui aurait servi de modèle pour une gravure de Fortuné Méaulle. Cette peinture est décrite comme représentant un personnage au visage torturé, qui semble refléter la malveillance de Barkilphedro.
Analyse du portrait de Gwynplaine
Le site Etudier.com propose une analyse détaillée du portrait de Gwynplaine dans l'Homme qui rit. L'auteur de l'article évoque notamment le contraste entre le sourire figé de Gwynplaine et la tristesse qui se cache derrière :
Le sourire, caractéristique physique de Gwynplaine, est un sourire figé, imposé par les voleurs et qui ne traduit pas l'état d'âme réel du personnage. Ce sourire est révélateur de la cruauté du monde qui impose à certains individus une apparence qui ne leur correspond pas.
L'article souligne également l'importance du regard dans la représentation du personnage :
Le regard de Gwynplaine a une grande importance dans l'oeuvre. Il permet de rendre compte de la souffrance de ce personnage qui doit non seulement accepter sa propre défiguration mais aussi subir la cruauté et l'injustice du monde qui l'entoure.
Conclusion
Le portrait de l'homme qui rit dans l'oeuvre de Victor Hugo est complexe et fascinant. Le sourire figé de Gwynplaine est un symbole de la cruauté du monde qui impose une apparence sur certains individus, tandis que le visage de Barkilphedro reflète sa malveillance. Le regard de Gwynplaine est également un élément clé de sa représentation, permettant de rendre compte de sa souffrance face à l'injustice et à l'hostilité de la société.
Sources :
- Le portrait de Gwynplaine - Ralentir travaux
- Portrait gwynplaine dans l'homme qui rit - Etudier.com
- L'homme qui rit, analyse du portrait de gwynplaine - Etudier.com
- L'Homme qui rit - Wikipédia
- File:L'Homme qui rit - Barkilphedro, par Rochegrosse.jpg
- L'Homme qui rit. Fragment de la peinture représentant Rembrandt et ...
- LA extrait de L'Homme qui rit de Victor Hugo, 1869 Le portrait de ...
- Gwinplaine : l'homme qui rit - Mille portraits
Portrait gwynplaine dans l'homme qui rit - 264 Mots - Etudier.com
www.etudier.com/dissertatio...'Homme-Qui-Rit/498661.htmlL'Homme qui rit/éd. 1869/II/2 - Wikisource
fr.wikisource.org/wiki/L%E2...Gwinplaine : l'homme qui rit - Mille portraits
1000portaits.wordpress.com/...L'Homme qui rit est un personnage qui prend une place de choix dans le cœur des gens. C'est un homme chaleureux, optimiste et quelqu’un qui voit le bon côté des choses.
Il a une personnalité contagieuse qui est envoûtante. Tous ceux qui le rencontrent sont rapidement saisis par ses qualités humaines, sa joie et son humour contagieux. Il n’hésite pas à s’amuser et à rire avec ses amis, même si les moments difficiles s’accumulent. Il est toujours prêt à encourager ses proches et à accueillir de nouvelles personnes avec une grande gentillesse.
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Je me souviens d'un incident lorsque j'étais au collège et que j'étais coincé à la bibliothèque sans que personne ne puisse me ramener à la maison. L'Homme qui Rit est arrivé et m'a proposé de me déposer chez moi, avec le sourire et un bon sens de l'humour. Sa gentillesse m'a ...